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Ce n’est un secret pour personne, les automobilistes qui ne risquent pas de payer une amende sont ceux qui respectent la loi. Les autres, qui enfreignent régulièrement ou de temps en temps les règles, s’exposent à des pertes financières.
En effet, il suffit d’un contrôle pour se retrouver avec un trou dans le compte en banque. Les forces de l’ordre peuvent, en outre, compter sur l’aide des radars. Chaque année, ils sanctionnent des milliers d’automobilistes. Et, en 2025, une arrivée massive risque de mettre d’autant plus à mal les finances des conducteurs peu soucieux des lois.
Les automobilistes risquent de le payer cher
Avec leur capacité à surveiller les routes de jour comme de nuit, les voitures-radars continuent de s’imposer dans plusieurs régions de France en 2025. Ce dispositif, qui traque les excès de vitesse, promet des sanctions sévères pour les contrevenants.
Nous connaissons l’objectif de ces fameuses voitures. Elles souhaitent renforcer la sécurité routière en détectant les infractions au Code de la route, où qu’elles se produisent. Contrairement aux radars fixes, qui dissuadent les excès de vitesse par leur seule présence, ces nouveaux dispositifs sont discrets et mobiles, capables de sévir sur n’importe quelle route, qu’il s’agisse d’agglomérations ou d’autoroutes.
Pour les automobilistes, c’est évidemment une mauvaise nouvelle. D’autant plus que ces voitures sont déjà arrivent en force sur le territoire. À l’heure actuelle, d’après Actu.fr, nous pouvons en croiser en Occitanie, en Auvergne-Rhône-Alpes ou encore en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Une technologie différente des radars classiques
Il ne faut pas penser que ces voitures-radars reposent sur le même système que les radars classiques. Les automobilistes connaissent les radars. Et, s’ils prennent souvent les mêmes routes, ils savent parfaitement où ils se trouvent. Avec les radars mobiles, ce n’est plus la même histoire.
Effectivement, ils s’intègrent à des voitures banalisées. Elles utilisent un flash infrarouge invisible. De quoi rendre leur détection impossible pour les usagers de la route. Selon la sécurité routière, ces dispositifs permettent une surveillance plus étendue et moins prévisible, même si leur nombre reste limité comparé aux radars traditionnels.
En effet, les automobilistes en France peuvent croiser 4 700 radars fixes. Au contraire, nous ne comptons que 110 voitures-radars en 2025.
Qui conduit les fameuses voitures ?
De nombreuses rumeurs circulent auprès des automobilistes concernant ces voitures. Alors, la cheffe du bureau de presse de la sécurité routière tient à mettre les choses au clair. C’est grâce à elle que nous savons qu’il y a actuellement 110 voitures de ce type sur les routes.
Parmi elles, les forces de l’ordre en conduisent 50. Les 60 autres sont gérées par des sociétés privées. Cette externalisation vise à permettre aux forces de l’ordre de se concentrer sur d’autres missions. Ces voitures-radars, actives sept jours sur sept, circulent en moyenne six heures par jour.
L’expansion des voitures-radars illustre la volonté des autorités de renforcer la lutte contre les infractions routières. Si les objectifs affichés sont louables, cette technologie soulève des critiques. Son aspect imprévisible et son coût d’exploitation font débat, tandis que de nombreux automobilistes dénoncent un sentiment de surveillance permanente.
Avec ces nouvelles mesures, les automobilistes devront donc redoubler de vigilance en respectant scrupuleusement les limitations de vitesse. Après tout, s’ils suivent à la lettre les règles, ils ne risquent rien.
