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Stéphane Plaza n’est plus, depuis des années, un simple agent immobilier. Grâce au succès de ses émissions sur M6, il s’impose comme une star du petit écran. Avec Karine Le Marchand, sa grande amie, il fait briller la sixième chaîne.
Et si cette dernière continue de lui faire confiance, l’animateur fait face à de véritables ennuis judiciaires. Alors que la parole des femmes se délie, surtout depuis le mouvement Me Too, de nombreux hommes doivent assumer leur comportement. Stéphane Plaza, qui nie les faits que lui reprochent deux plaignantes, se retrouvera donc devant un tribunal pour se défendre.
Stéphane Plaza face à deux femmes
Les soucis avec la justice pour Stéphane Plaza remontent à 2023. Cette année-là, plusieurs anciennes compagnes l’accusent de violences conjugales. Quand l’information arrive jusqu’aux oreilles de la presse, c’est le choc. Le grand public apprend ces accusations et n’en revient pas.
Forcément, ces accusations ébranlent l’image lisse de l’animateur. Stéphane Plaza est, aux yeux de tous, un homme sympathique, le gendre idéal. Et pourtant, deux plaignantes dénoncent des faits présumés de violences physiques et verbales survenus au cours de relations marquées par des disputes fréquentes et intenses.
La bombe est difficile à gérer pour l’animateur. M6 choisit pourtant de le croire et de ne pas changer son fusil d’épaule. Elle continue de faire confiance à son poulain et compte sur sa grande popularité pour mettre rapidement l’histoire derrière lui. Par conséquent, depuis la médiatisation de l’affaire, l’animateur est toujours au rendez-vous. Certes, il est moins présent. Mais de nouvelles émissions inédites ont toutefois été proposées aux téléspectateurs.
Stéphane Plaza nie les faits
Si la chaîne décide de ne pas suspendre ses activités avec Stéphane Plaza, c’est qu’elle décide de le croire. En effet, l’animateur nie catégoriquement les faits que lui reprochent les deux plaignantes.
Selon lui, il n’a jamais eu un comportement violent, qu’il soit physique ou verbal. En outre, il dénonce ce qu’il qualifie de « complot » visant à ternir sa réputation et annonce qu’il entend se défendre avec fermeté devant la justice.
Finalement, le procès verra le jour deux ans après les accusations, en mars 2025. En attendant, la polémique est toujours aussi vive. Comme à chaque fois, elle divise l’opinion publique. Si certains estiment que la présomption d’innocence doit l’emporter, d’autres critiquent vivement M6 pour son choix de ne pas pénaliser l’animateur.
Une surprise avant le procès
Aujourd’hui, une nouvelle révélation vient alimenter l’affaire. Selon des informations exclusives de RTL, une de ses proches, une certaine Julie G., aurait été placée en garde à vue ces derniers mois. Deux plaignantes dans l’affaire qui les oppose à Stéphane Plaza indiquent qu’elle les cyberharcèle.
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Julie G. nie ces accusations. « La police a vérifié mon ordinateur et mon portable pour prouver ma bonne foi« , indique-t-elle. Ce rebondissement n’est pas le bienvenu pour Stéphane Plaza, quelques mois avant son procès.
L’année prochaine sera évidemment déterminante pour l’animateur. En mars, tous les regards se tourneront vers son procès. Les plaignantes auront l’occasion d’exprimer leur ressenti, et Stéphane Plaza pourra se défendre, comme il le souhaite depuis le début.