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Acheter chez Leclerc fait partie des habitudes d’achat de la plupart des Français. Ce réflexe durement travaillé par l’enseigne provient de la qualité des produits proposés contre un prix attractif. Cependant, l’erreur ne se dissocie pas de l’humanité et il arrive que quelques fautes d’inattention transparaissent dans les produits Leclerc.
Ce cas rapporté par des clients de la chaîne de magasins en constitue une preuve tangible. Bien que la satisfaction clientèle représente l’objectif premier de l’enseigne, cela ne convient pas toujours à la clientèle. Retour en arrière sur cette histoire.
Un client Leclerc de longue date
Leclerc existe maintenant depuis 30 ans en France. Elle fait partie des enseignes les plus fréquentées et les plus appréciées des Français. Un classement effectué par La Dépêche le place même en première position en ce qui concerne la grande distribution.
Depuis l’inflation, les habitudes de consommation ont changé et les enseignes comme Leclerc attirent ainsi de plus en plus de monde. Lilian Moyen fait partie de ceux qui y viennent régulièrement pour les courses du quotidien.
Cette fois, il achète une tarte au Leclerc de Saint-Astier parmi les autres bricoles dont il a besoin pour la semaine. Au moment de la préparer, il tombe sur un objet qui ne devrait pas y être, selon toute logique.
Un retour auprès du magasin Leclerc
L’épisode que vit ce client quadragénaire de Leclerc s’avère invraisemblable. Il avait acheté une tarte et comptait la déguster. Au moment de la déguster, il s’aperçoit que quelque chose semble coincé dans la tarte aux pommes. Il pense, en premier lieu, à une fève que les pâtissiers auraient pu glisser par erreur.
Le calendrier indique qu’on se trouve au mois de février et il reste peut-être des fèves de l’épiphanie. Il creuse alors un peu plus la question et fait face à une surprise de taille.
Pourtant, à la place d’une fève, il retrouve un stylo orange qui semble déformé par la chaleur. Ce client veut comprendre comment un produit Leclerc peut comporter un objet qui ne devrait pas se trouver là. Il aurait pu appeler, mais préfère se déplacer sur place afin de mettre au courant de toute cette histoire.
La réaction de Leclerc
Lilian Moyen se rend sans attendre auprès du magasin Leclerc de Saint-Astier. Sur place, on ne fait aucune difficulté pour le recevoir.
Une responsable qui s’occupe de l’hygiène et de la sécurité le prend en charge dans ses bureaux. Le client médusé peut alors s’épancher et raconter sa mésaventure culinaire.
Au terme de leur discussion, la femme promet alors de toucher un mot à l’entreprise Pasquier. Les tartelettes proviennent en fait de cette fabrique et ils savent mieux qu’elle ce qui aurait pu se passer.
Une suite insatisfaisante
Leclerc met l’entreprise Pasquier au courant de l’histoire. Contre toute attente, ce fabricant de tartes aurait refusé toute implication dans l’affaire. Pour eux, cela n’aurait pas pu se passer à leur niveau.
Le stylo se serait glissé entre le moule et le fond de tarte soit au niveau de Leclerc, soit au niveau du client lui-même.
Après ce refus catégorique de son collaborateur, Leclerc propose de mettre un terme à cette histoire, en offrant un dédommagement au client. Il s’agit d’une carte de fidélité, où se trouve le prix de la tarte et un achat cadeau de 10 euros.
Le client récalcitrant ne veut pas se contenter de cette compensation, à ses yeux, il mérite mieux : un éclaircissement.