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Une règlementation des véhicules a été établie le 20 mai 2018 et cette année, il y aura une modification. À partir du mois d’avril 2024, une nouvelle ère va commencer concernant le contrôle technique. Cela inclut différentes catégories de véhicules. Faisons alors le point sur cette nouveauté afin de savoir quelle réglementation concerne chaque véhicule.
Nouveau contrôle technique : késako ?
Comme un gardien vigilant, le contrôle technique scrute et dévoile les failles cachées des véhicules, prévenant ainsi les accidents avant qu’ils ne surviennent. C’est le sésame indispensable pour tout véhicule aspirant à fouler l’asphalte de nos rues.
Lancé en 1992, ce contrôle a évolué, se bonifiant comme un vin fin avec des retouches en 2019 et une transformation attendue en avril 2024. Cette évolution traduit la quête incessante de l’État pour des routes plus sûres. Désormais, même les véhicules qui échappaient autrefois à son emprise vont se plier à cette exigence de qualité.
Et voilà qu’en avril 2024, une révolution se profile : les véhicules de catégorie L, ces agiles deux-roues, rejoindront leurs cousins à quatre roues sous l’œil expert du contrôle technique. Une nouvelle ère de sécurité routière s’annonce, où chaque véhicule, grand ou petit, devra prouver sa valeur avant de prendre la route.
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Nouveau contrôle technique : les véhicules concernés
En 2024, la France élargit son horizon sécuritaire avec une réglementation inédite pour la catégorie L. Cette catégorie, c’est l’univers des motos, qu’elles aient deux, trois ou quatre roues.
C’est une révolution pour ces engins, qui jusqu’ici échappaient au contrôle technique. Mais attention, détail crucial. Les vétérans de la route, ceux lancés avant janvier 2017, seront les premiers appelés. Les nouveaux venus post-15 avril auront un sursis de quatre mois pour se conformer.
Les acteurs de cette nouvelle scène incluent une palette variée : motos, cyclomoteurs, scooters, sans oublier les tricycles et quadricycles tels que les quads. Quant aux collectionneurs et aux as du guidon en compétition, ils restent hors champ. En effet, leurs précieuses montures de collection et bolides de course échappent à ce contrôle.
Comparé aux autres catégories, le contrôle technique des véhicules à deux roues se montre plus flexible et moins contraignant. Les examinateurs se concentreront sur des aspects cruciaux tels que la sécurité, l’impact écologique et le respect des limites de vitesse.
Le véhicule va passer par 3 étapes
Voici comment se passe ce fameux contrôle. D’abord, le véhicule révèle son identité et soumet ses freins, sa direction, sa visibilité, ses dispositifs réfléchissants, ses feux, ses équipements électriques, ses roues et son châssis à un examen minutieux. Puis, une analyse rapide des émissions de l’échappement jauge la propreté de son souffle face aux gaz et fumées.
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Ensuite, le véhicule affronte le défi de la pollution sonore, prouvant qu’il peut murmurer aussi doucement qu’il roule. Enfin, l’État impose sa loi de vitesse, limitant les prétendants à 45 km/h pour garantir une harmonie sur l’asphalte.
Le rituel du contrôle technique pour les deux roues s’initie cinq ans après leur naissance mécanique. Un second examen les attend trois ans plus tard. Et le cycle se poursuit, assurant ainsi leur noblesse sur la route.
