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Si le billet qui traîne dans votre portefeuille valait une fortune ? Un modèle en particulier est une vraie pépite pour les collectionneurs. Autant dire qu’ils se l’arrachent. Rare, ce bout de papier se vend même à prix d’or. Peut-être que vous l’avez sans le savoir. Alors, vérifiez-le. Qui sait, vous pourriez bien tomber sur le jackpot !
Une pièce de collection
Les anciens billets ne vous disent sûrement pas grand chose. D’ailleurs, les magasins ne les acceptent pas, vous dites-vous peut-être. Mais pour les collectionneurs, ils représentent bien plus qu’un bout de papier. En effet, ils y voient un fragment d’histoire.
Chaque pièce raconte une époque révolue. Nombreux se laissent également séduire pour leur côté artistique. Les détails des gravures et les impressions les rendent comme des œuvres d’art.
Beaucoup sortent même le chéquier pour mettre la main sur des anciens billets. Parmi eux, le billet de 10 000 francs de 1958. Celui qui affiche Napoléon Bonaparte. Marie France nous révèle qu’un exemplaire est vendu à 495 euros. Une somme importante pour un billet qui ne vaut plus rien en magasin.
Voyons aussi le cas de celui de 200 francs Gustave Eiffel. Nos confrères affirment qu’il vaut dans les centaines d’euros. Pourtant, un modèle en particulier intéresse de nombreux collectionneurs. Sa valeur dépasse même « le prix d’une voiture » comme l’affirme L’Internaute.
Un billet qui se vend à un prix fou
Le billet espagnol d’une pesata est un vrai trésor pour les amateurs de numismatique. Les séries de 1953 attirent en particulier l’attention des collectionneurs. C’est vrai, sa valeur ne dépasse pas quelques euros aujourd’hui. Pourtant, il vaut de l’or. Des gens sont prêts à payer jusqu’à 25 000 euros pour avoir un exemplaire.
Comment le reconnaître alors ? Ce billet se distingue par une impression marron rougeâtre et noire, informe Numista. Sur son avers, vous trouverez le buste de Don Álvaro de Bazán y Guzmán, le premier Marquis de Santa Cruz. Quant au revers, il dévoile au centre le dessin d’un galion. Rappelez-vous, il s’agit du navire le plus important de l’Armada espagnole à cette époque.
D’autres billets qui valent une fortune
Pourquoi le billet d’une peseta de 1953 s’achète à un tel prix ? D’abord, parce qu’il incarne un pan du patrimoine espagnol. Et ça, les collectionneurs en raffolent. Mais surtout, ce tarif s’explique par sa rareté.
Son impression n’a en effet duré qu’une seule journée. Précisément le 22 juillet 1953 à Madrid. Rapidement remplacé par une pièce, il a disparu de la circulation.
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Bien que rare, tentez votre chance en vérifiant au fond de votre tiroir ou dans votre album de famille. Sachez toutefois que ce billet n’est pas le seul à affoler les collectionneurs. D’autres trésors en papier peuvent aussi rapporter gros.
Il y a par exemple le billet de 100 pesetas avec la Dame d’Elche. Celui imprimé pendant la Guerre Civile. Ce modèle est d’une grande rareté. Parce que les autorités ont confisqué et détruit la plupart des exemplaires en 1939.
Vous en avez ? Vous allez peut-être toucher entre 15 000 à 20 000 euros. Le billet de 1 000 pesetas avec l’Alcazar de Tolède est également une perle rare. Il se négocie aux alentours de 3 600 euros, comme le révèle L’Internaute.