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Le livret A amorce doucement mais sûrement sa fin. Les taux d’intérêts diminuent, ce qui touche forcément les rendements des fonds. Il est alors incontournable de trouver une ou des solutions alternatives pour préserver ses investissements et assurer de garder ses épargnes. Comment ? En innovant pour sortir des sentiers battus selon nos confrères de Moneyvox.
Continuer à optimiser ses épargnes
Dans un avenir proche, il faut prévoir quelques changements dans nos modes d’investissements. De nouvelles stratégies commencent à être mises en place. Ceux qui souhaitent alors continuer à faire fructifier leurs épargnes doivent se décaler de leur zone de confort. Le marché subit encore les conséquences de la crise immobilière qui a tendance à s’étaler dans le temps. Et d’après les expériences, des secousses, il y en aura toujours.
Les produits structurés en actions sont ceux qui offrent le plus de chance de voir tous les marchés. Une des meilleures épargnes, elles gagnent de plus en plus de terrain en se démocratisant. Le secret ? Elles intègrent des unités de compte pour les assurances vies.
Elles ne sont autres qu’un mode de pari en hausse. Au départ, il faut déterminer une somme à partir de différents indices de marchés. En fin de trimestre ou d’année, il faut comparer le résultat final au point de départ. Le produit est alors dit « débouclé » si une hausse est en cours. Dans ce cas, la somme investit vous revient avec un coupon. Si par malheur, le contraire se produit, le pari continue et peut rester sur le marché jusqu’à 10 ans. Arrivé à échéance, le taux de la baisse est évalué et l’investisseur peut perdre une partie de son capital et ses épargnes.
Quel autre marché pour optimiser ses placements ?
Le club deals joue dans l’immobilier premium. Il représente également l’un des meilleurs moyens pour faire des épargnes. Très apprécié des niches aisées de la société, l’opération consiste à créer les épargnes dans l’achat d’une partie d’un bien immobilier.
Les sommes en questions se chiffrent en dizaines et de centaines d’euros. Et il n’est d’ailleurs pas rare qu’elles atteignent les milliers d’euros. Avec des opérations discrètes, voire confidentielles, il pourrait s’agir de la crème des épargnes. Ce sont les acteurs et les sociétés de gestion de la pierre qui gèrent les actions. Ces derniers se divisent alors en deux parties : la plus-value et les rendements.
Comme il s’agit d’opérations immobilières, les mises se font sur les immeubles déjà en location. Ce qui génère les coupons qui se transforment en épargnes. La catégorie de la plus-value se tourne vers les projets de construction et de leur revente.
Les épargnes chez private equity
Le privacy equity est l’une des épargnes les plus fructueuses. Elle mise sur les PME et les ETI qui possèdent le plus de chance de grandir. Ces entreprises comptent plus de 250 salariés. Ce mode d’investissement souhaite s’ouvrir au public si à la base, il était uniquement pour les institutions. Les fonds de départ sont alors de 100.000 euros et sont généralement dans des sociétés qui chiffrent en plusieurs centaines d’euros.
Durant les premières années, les épargnes sont bloquées mais génèrent du rendement. En effet, les PME se retrouvent sur le marché après huit années maximum. Au bout de ces huit ans, il est possible de noter une augmentation de 13 à 15% du rendement. Avec un peu de chance, les épargnes peuvent même doubler de montant.
Source : Moneyvox