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Nouvelle taxe pour les propriétaires en 2025 : cette condition pour ne pas la payer

Pour l’année 2025, les propriétaires vont devoir payer une nouvelle taxe. Cependant, il existe une solution pour ne pas le faire.

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L’année 2025 ne s’annonce pas rose pour les propriétaires. En effet, ils devront mettre la main à la poche pour une nouvelle taxe. Heureusement qu’ils peuvent en réchapper s’ils s’appliquent à suivre une certaine condition. Nous vous expliquons tout sur le sujet afin que vous sachiez prendre vos dispositions.

Une nouvelle taxe pour les propriétaires

L’État pompe de l’argent partout où il estime qu’il le peut. Ainsi, pour l’année 2025, les propriétaires vont devoir se serrer la ceinture. En effet, une nouvelle taxe s’adresse à eux et ils devront s’y plier bon gré, mal gré. Jusque là, inexistant, ce prélèvement de l’État va préoccuper un grand nombre de monde.

En 2023, l’État avait supprimé une taxe et cela avait soulagé les propriétaires. Ils ne pensaient pas qu’une toute nouvelle les attendait et qu’elle frapperait là où ils ne s’attendaient pas. Il s’agissait d’un avantage que possédaient les personnes détentrices d’un bien immobilier. Cependant, les choses vont changer.

Ce qui attend les propriétaires

Cette nouvelle disposition concernant les taxes ne va sûrement pas enchanter les propriétaires. En fait, ils avaient pris pour acquis les avantages que procurait leur position. Ils doivent donc se faire à l’idée des nouvelles attitudes à adopter face à cette décision.

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L’État a décidé que désormais, les propriétaires qui cèdent leur résidence devront s’acquitter d’une taxe. Pourtant, auparavant, ils s’en trouvaient totalement exonéré. En effet, cela constituait un des avantages fiscaux dont ils bénéficiaient. Quand ils effectuaient une vente, la plus-value obtenue sur un logement principal se trouvait entièrement exonérée.

Il se pourrait donc que nous assistions à la fin d’une ère avec la suppression de cet avantage fiscal dont profitaient les propriétaires. La menace provient de l’Assemblée nationale qui a récemment effectué une première lecture. La mesure a de quoi susciter des interrogations du côté des concernés. Mais heureusement, ils peuvent y réchapper.

Les motivations de l’État

Cette décision peut révolter une certaine partie des propriétaires. Cependant, derrière cette disposition, L’État intervient pour que ces personnes ne profitent pas trop de la situation. D’après le magazine Capital, il a même spécifié un terme spécial pour désigner contre quel phénomène il lutte.

En fait, le gouvernement va à l’encontre de « culbutes spéculatives ». Cela signifie qu’il veut mettre fin aux reventes rapides qui visent uniquement la maximisation des gains tout en passant outre les impôts. En effet, certains propriétaires se consacrent à des processus d’achat-revente de résidences principales.

Le phénomène est encore plus constaté dans des endroits spécifiques. Ils se caractérisent par une demande immobilière forte et des prix à la hausse constante. Les personnes qui se disent propriétaires du bien peuvent alors rafler le maximum de bénéfices en déclarant le logement comme résidence principale. Légalement, l’imposition sur les plus-values ne les concerne pas.

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Que peuvent faire les propriétaires ?

Les propriétaires peuvent se sentir désemparés face à cette situation. Cependant, rien n’est perdu. Après tout, personne ne les empêche de vendre leur résidence principale. Bien sûr, les paramètres changent puisqu’ils ne peuvent plus le faire à la va-vite. Mais, il existe encore des alternatives pour ne pas s’acquitter de taxes de plus-value.

Pour échapper à cette taxe, les propriétaires doivent habiter dans leur résidence principale sur une durée de 2 ans. À part cela, les propriétaires qui prouvent qu’ils se séparent du bien pour financer l’achat d’une autre résidence principale se trouvent exonérés.

Enfin, les personnes en situation de handicap et les personnes âgées n’entrent pas en ligne de compte pour cette mesure.

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