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Automobilistes: nouvelle réglementation en 2025 pour les contrôles techniques, les changements cruciaux

Les automobilistes doivent se préparer à certains changements notables concernant le contrôle technique. Et ce, dès le mois de janvier 2025.

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Face aux enjeux environnementaux, le gouvernement intensifie la régulation des véhicules polluants. Les automobilistes sont évidemment dans le viseur, avec plusieurs décisions qui impactent leurs habitudes. Si certaines sont encore lointaines, d’autres sont plus immédiates.

Ainsi, alors que la fin de la vente des voitures thermiques prendra fin en 2035, de nouvelles restrictions entrent en vigueur dès janvier 2025. Elles imposent des contrôles techniques plus stricts sur les voitures thermiques déjà en circulation. Mais qu’est-ce que ça change exactement pour les automobilistes ? Malheureusement, le contrôle technique pourrait vraisemblablement coûter encore plus cher.

Automobilistes : l’importance du contrôle technique

Le contrôle technique est tout simplement une inspection complète de tous les éléments de sécurité d’un véhicule. Nous pouvons le comparer à un rendez-vous routinier chez le médecin. Cela permet de faire le point et de laisser un professionnel vérifier que tout va bien.

Ainsi, tous les deux ans, les experts contrôlent les pneus, les freins, l’éclairage et d’autres composants essentiels afin de garantir la sécurité des conducteurs et des autres usagers. En cas de non-conformité, les automobilistes risquent une amende forfaitaire de 135 euros. Elle peut aller jusqu’à 375 euros, voire 750 euros en cas de retard important.

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Pour les automobilistes, ce n’est pas forcément une partie de plaisir. C’est une somme à d’argent à débourser, et les ménages les plus modestes ont tendance à retarder leur visite. Malheureusement, cette dernière pourrait voir son prix évoluer à la hausse. Et pour cause, le contrôle technique va changer en 2025.

De nouvelles mesures entrent en vigueur en 2025

Un autre volet clé du contrôle technique réside dans le contrôle des émissions de polluants. À partir de 2025, les centres de contrôle technique seront équipés de dispositifs de détection avancés capables d’identifier plus précisément les émissions et de repérer les manipulations frauduleuses.

Cette évolution n’est pas réellement surprenante. En effet, des automobilistes cherchent parfois à contourner ces contrôles en modifiant leurs véhicules, notamment en retirant des éléments comme le filtre à particules ou le catalyseur pour améliorer la performance du moteur ou éviter des réparations coûteuses.

Grâce aux nouvelles technologies, les centres de contrôle technique pourront détecter ces modifications matérielles ou logicielles, comme les reprogrammations de moteur qui falsifient les émissions réelles. Ces mesures visent à réduire la pollution des véhicules et à dissuader toute fraude. Mais pourquoi, alors, les automobilistes devraient-ils se retrouver à payer plus ?

Un prix à la hausse ?

Le nouveau contrôle technique ne fera pas qu’ajouter ce contrôle des émissions. En effet, il introduira également de nouvelles vérifications pour les éléments de sécurité comme les freins et les ceintures. Il fera alors disparaître certaines tolérances au sujet de défaillances. Le but est de tout miser sur la sécurité des automobilistes.

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Cependant, cela devrait augmenter le taux de refus au contrôle technique, et pourrait entraîner un coût supplémentaire pour les automobilistes. En effet, la dernière augmentation de tarif du contrôle technique remonte à 2018, à la suite d’une réglementation similaire.

Puisque les professionnels auront plus de travail, une hausse des prix similaire n’est pas à mettre de côté. En 2018, les automobilistes devaient payer 12 % de plus.

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