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Les automobilistes doivent contribuer pour pouvoir continuer à rouler dans les meilleures conditions. Seulement, ils peuvent penser que ce que l’État exige d’eux va déjà au-delà du raisonnable. Pourtant, une autre taxe à payer se profile déjà et elle ne va pas enchanter les conducteurs. De quoi s’agit-il exactement ?
Des automobilistes qui n’en peuvent plus
François Durovray, ministre délégué chargé des Transports, a annoncé la couleur pour les automobilistes le 24 septembre dernier. Il prévoit la possibilité de devoir payer une taxe supplémentaire pour les conducteurs. Déjà qu’ils paient pour les dernières mises à jour par rapport aux décisions de l’UE, cela va continuer.
Il faut dire que les automobilistes participent beaucoup pour se montrer à la hauteur de nombreuses exigences. Nous pouvons par exemple répertorier les dispositions environnementales auxquelles il faut s’aligner. Les anciens modèles de voitures ne peuvent plus rouler dans certaines zones. Cela sous-entend que ces personnes-là, pour pouvoir continuer à circuler, devront acheter une nouvelle auto.
Ce que les automobilistes endurent déjà
Plusieurs autres paramètres démontrent que les conducteurs se trouvent confrontés à des défis. En effet, la plupart des voitures pour le moment roulent avec du carburant. Or, le prix de l’énergie a augmenté et les carburants avec elle. Les conducteurs doivent donc se serrer la ceinture pour circuler.
D’ailleurs, la majorité des automobilistes se servent principalement de leur véhicule pour aller travailler. La hausse du prix du carburant constitue un problème commun à gérer.
Cependant, dans certaines régions, ceux qui ont décidé de s’acheter une voiture se rendent compte d’une autre augmentation. Cette fois, les automobilistes font face à la hausse de la somme à payer pour la carte grise.
Ceux qui roulent avec une voiture jugée trop polluante écopent aussi d’une amende. Ils ne peuvent plus aller là où bon leur semble. Alors, dans ces circonstances, l’annonce d’une nouvelle charge pour les conducteurs s’avère de trop.
Mais une taxe pour quoi ?
François Durovray a préparé les automobilistes à payer une taxe en plus pour une raison précise. En fait, les charges qui l’attendent se montrent faramineuses. Comme il devra s’acquitter de lourdes dépenses, il lui faut trouver une solution dès maintenant. La décision finale ? Faire contribuer les automobilistes à des projets à venir.
Les normes principalement environnementales demandent un renouvellement des infrastructures, mais aussi leur modernisation. Certes, le réseau routier de France fait partie des meilleurs dans le monde, mais son entretien coûte aussi beaucoup. Dans cette perspective, le gouvernement prévoit une nouvelle taxe pour les automobilistes.
Le nouveau ministre délégué chargé des Transports ne cache pas son besoin de financement. Il l’a d’ailleurs annoncé publiquement à la télévision avec des termes très clairs. « Il nous faut des recettes », dit-il le plus simplement du monde. Pour les constituer, les automobilistes devront mettre la main à la poche.
Quid des associations des automobilistes
Les associations des automobilistes ne l’entendent pas de cette oreille. En effet, elle pense que les conducteurs se trouvent déjà trop encombrés de charge. La transition écologique nécessite de nouvelles infrastructures, mais les conducteurs ne devraient pas en payer le prix.
Pour la majorité, l’usage de la voiture reste principalement utilitaire et constitue un moyen de transport pour travailler. Les automobilistes s’en servent donc pour servir le pays et il n’existe aucune raison pour les taxer davantage.
