Montrer le sommaire Cacher le sommaire
L’UFC-Que Choisir tire une nouvelle sonnette d’alarme. Cette fois, l’association de consommateurs alerte sur une arnaque redoutable qui pourrait vider vos comptes bancaires en un clin d’œil. Les fraudeurs, qui sont toujours à l’affût de nouvelles failles, ont désormais trouvé une méthode pour s’en prendre aux particuliers. Dans cette situation critique, l’association appelle à la plus grande vigilance.
L’UFC-Que Choisir met en garde
Si les comptes bancaires restaient autrefois considérés comme des coffres-forts inviolables, ce n’est plus le cas. Ils sont aujourd’hui devenus le terrain de jeu favori des arnaqueurs. Ces derniers ne cessent d’affiner leurs techniques pour dérober l’argent de leurs victimes.
Parmi les techniques les plus répandues, le pishing continue de faire des dégâts. ll s’agit d’usurper l’identité de sources fiables à travers des courriels ou des messages. Les victimes, trompées par l’apparence crédible de ces communications, fournissent alors leurs identifiants bancaires sans se méfier.
Par ailleurs, de nouvelles méthodes encore plus sournoises émergent. Les escrocs déploient une ingéniosité sans limites pour parvenir à leurs fins. Les conséquences de ces arnaques sont souvent lourdes pour les victimes qui se retrouvent du jour au lendemain sans économies.
À voir Le meilleur vinaigre balsamique vendu en supermarché, selon UFC-Que Choisir
De plus, les démarches judiciaires demeurent complexes pour espérer récupérer leurs fonds. Récemment, l’UFC-Que Choisir a lancé une alerte concernant une escroquerie bancaire de grande envergure.
Les comptes bancaires désormais ciblés
L’UFC-Que Choisir lance un avertissement face à une nouvelle fraude en ligne ciblant les comptes bancaires. L’association souligne que les escrocs utilisent des techniques simples, mais qui marchent, afin de dérober les informations sensibles des victimes.
L’usurpation d’identité de conseillers bancaires est la technique la plus répandue. Souvent, elle se fait par le biais du pishing, du piratage ou via des virus informatiques.
Ces faux conseillers contactent directement les clients. Ils se font souvent passer pour des experts chargés de résoudre un souci lié au compte ou d’en renforcer la sécurité. Leur discours, souvent très persuasif, amène certaines victimes à divulguer leurs identifiants bancaires.
Les fraudeurs utilisent même l’excuse d’un faux virement, pour inciter les clients à communiquer leurs données confidentielles.
À voir L’UFC-Que Choisir dénonce ce baume à lèvre à ne surtout pas acheter cet hiver
La nouvelle arnaque qui inquiète l’UFC-Que Choisir ne fait pas de distinction. Elle peut frapper tous types de comptes, peu importe la banque ou le solde. Cette fraude s’avère d’autant plus pernicieuse que les cybercriminels se montrent de plus en plus convaincants dans leurs approches.
Les conseils de l’UFC-Que Choisir
Face à la hausse des fraudes bancaires, l’UFC-Que Choisir appelle à une vigilance accrue. L’association conseille de ne jamais divulguer ses informations bancaires, que ce soit par téléphone ou par e-mail.
Elle rappelle aussi que les institutions bancaires ne demandent jamais les codes d’accès personnels de leurs clients. Si quelqu’un vous les réclame, méfiez-vous, il s’agit probablement d’une tentative de fraude.
L’UFC-Que Choisir souligne également qu’aucun employé de banque ne demandera un virement à distance. Si vous recevez ce genre de demande, il est essentiel de rester sur vos gardes. En cas de doute, la meilleure attitude est de contacter directement votre banque pour vérifier l’authenticité de la demande.
Si vous pensez que vos données se trouvent compromises, changez sans hésiter votre mot de passe. Et en cas de suspension d’une transaction frauduleuse, vous pouvez effectuer une opposition sur le compte concerné. Selon la situation, certaines banques peuvent proposer un remboursement.
Enfin, pour renforcer la sécurité, l’association recommande d’activer la double authentification. Ce système ajoute une couche de protection supplémentaire, rendant ainsi plus difficile l’accès aux comptes par des tiers malveillants.
