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Le cauchemar prend fin pour ces automobilistes, ce dispositif va enfin disparaître

Après des années à rendre la vie dure aux automobilistes, ce dispositif va enfin disparaître de certaines routes. Une très bonne nouvelle !

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Ce dispositif existe pour la sécurité de tous les usagers de la route, certes. Mais sur la balance, les inconvénients semblent largement surpasser les avantages. En effet, pour de nombreux automobilistes, la rencontre avec ces dispositifs se transforme en véritable cauchemar.

Heureusement, la situation a évolué ces derniers mois. Les nouvelles réglementations ont apporté des changements significatifs, mettant fin à cette mauvaise expérience pour de nombreux conducteurs. Désormais, les communes sont contraintes de revoir et, dans certains cas, de supprimer ces dispositifs.

Des automobilistes irrespectueux des vitesses

Les automobilistes français sont de plus en plus séduits par la vitesse. Ce phénomène s’observe particulièrement chez les conducteurs aguerris, tandis que les jeunes titulaires de permis et les personnes plus vulnérables respectent souvent les règles de conduite. Face à cette tendance croissante, les autorités se voient contraintes de renforcer les mesures de régulation.

Pour endiguer cette passion pour la vitesse, les limitations deviennent plus strictes. Le nombre de panneaux de signalisation sur la vitesse s’est multiplié sur nos routes. Ils varient notamment selon les conditions de la route et les dangers potentiels.

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Les radars de nouvelle génération ont aussi fait leur entrée. Désormais omniprésents, ils sont là pour flasher chaque excès de vitesse.

Les sanctions ont également évolué vis à vis des automobilistes. Amendes salées, retraits de points sur le permis, mise en fourrière des véhicules ou même retrait du permis de conduire… Les mesures visent à dissuader les comportements à risque.

Mais ce n’est pas tout. Les dispositifs comme les dos d’âne se sont multipliés pour ralentir les conducteurs.

Un cauchemar pour les automobilistes

La guerre contre la vitesse excessive bat son plein, et les dos d’âne se sont multipliés sur nos routes ces dernières années. Conçus pour ralentir les automobilistes, ces dispositifs envahissent désormais nos agglomérations et villages. Mais derrière leur apparence inoffensive se cachent des inconvénients non négligeables.

À l’approche d’un dos d’âne, la règle reste la même : ralentir. Pourtant, ce ralentissement n’est pas sans conséquences. Mal placés ou mal conçus, ces ralentisseurs peuvent provoquer des arrêts brusques, mettant en danger les véhicules derrière.

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Imaginez la scène ! Un automobiliste freine soudainement pour éviter le dos d’âne, et le véhicule en arrière-plan n’a pas le temps de réagir. Les accidents dus à ces coups de frein intempestifs ne sont pas rares.

Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là. Certains dos d’âne sont tellement hauts qu’ils peuvent sérieusement endommager les amortisseurs de votre voiture.

Les dangers ne se limitent pas aux risques physiques. Passer par ces ralentisseurs augmente la consommation de carburant. Les automobilistes doivent freiner, débrayer, puis accélérer à nouveau. Toutes ces manœuvres augmentent non seulement la consommation d’essence, mais aussi l’usure des véhicules.

La fin de ces dispositifs en France

Le 30 avril dernier, la Cour administrative d’appel de Marseille a rendu une décision. Une mesure qui pourrait bouleverser le paysage routier et ravir les automobilistes.

D’après les informations de Marie France, les communes n’ont pas le droit d’installer un dos d’âne sur des routes où la vitesse autorisée dépasse les 30 km/h. Donc, si vous croisez un ralentisseur sur une route limitée à 50 km/h, il est illégal.

De plus, ces dispositifs doivent être installés à plus de 40 mètres des virages et à plus de 25 mètres des ponts. Pour éviter des sanctions, certaines villes ont déjà pris les devants. Elles ont commencé à retirer les ralentisseurs non conformes, comme c’est le cas en Gironde et dans l’Ain.

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