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Cette erreur fatale que beaucoup font empêche de toucher une assurance-vie

Si vous envisagez de recourir à l’assurance-vie, soyez prudent au moment de rédiger le contrat. Cette erreur pourrait vous coûter cher !

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Malheureusement, une assurance-vie peut provoquer des conflits majeurs au sein d’une famille. Pour éviter ce genre de désagrément, l’assuré ne doit laisser aucune ambiguïté dans son contrat. D’ailleurs, il existe une erreur que presque tout le monde fait et qui pourrait changer beaucoup de choses. Voici ce qu’il en est !

Pourquoi souscrire à une assurance-vie ?

Le fonctionnement de l’assurance-vie est très simple. L’assuré paie une certaine cotisation chez son assureur, selon un laps de temps convenu d’avance. Après un certain temps, l’assuré bénéficie d’une rente en contrepartie de ses efforts précédents. S’il meurt avant l’échéance, il peut choisir qui va bénéficier de la somme !

En clair, l’assurance-vie s’apparente à tout autre produit d’épargne. D’ailleurs, il possède un bon nombre de leurs avantages ! En guise d’exemple, l’assuré peut décider de retirer une partie ou l’intégralité de son capital s’il en a besoin. Et ce, sans avoir à fournir de justificatif précis.

Ceux qui cherchent à se constituer une autre source de revenus après la retraite peuvent donc opter pour l’assurance-vie. L’autre objectif des gens qui choisissent ce produit d’épargne est de léguer leur richesse à leurs descendants ou leur conjoint. Après leur mort, ils s’assurent que ces derniers vont récolter les fruits de leurs efforts.

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Lors de la transmission du patrimoine, les bénéficiaires n’ont pas à se soucier de l’impôt sur la succession. En effet, ils doivent simplement respecter les procédures nécessaires pour toucher l’argent. Néanmoins, l’assuré doit être très méticuleux lors de la rédaction du contrat. Le cas échéant, certains bénéficiaires pourraient ne pas profiter de leurs avantages !

Les cas des enfants et du conjoint à spécifier dans le contrat

Mentionner les noms des bénéficiaires est tout à fait normal pour certaines personnes. Pourtant, il faut faire attention, surtout pour ceux qui pourraient encore se remarier un jour. Ainsi, il vaut mieux écrire « mon conjoint » lors de la rédaction du contrat de l’assurance-vie. Cela évite bien des tracas !

Si l’assuré se remarie avant de mourir, l’assureur va faire face à un dilemme de taille lors de la répartition du capital. L’argent de l’assurance-vie va-t-il revenir au premier ou au deuxième partenaire ? Ce genre de cas finit très souvent au tribunal, alors qu’une simple précaution permet d’éviter ce genre de problème.

En outre, ceux qui sont unis par un PACS doivent mentionner « partenaire de PACS » dans leur contrat. Le conjoint n’inclut que les époux légaux ! Concernant les enfants, la question est encore plus difficile. Tout dépend de la vision de l’assuré quant à sa future vie de famille.

Si l’assuré ne compte plus avoir d’enfants, alors il doit spécifier leurs noms dans le contrat d’assurance-vie. De cette manière, ses descendants peuvent avoir accès au capital sans passer par des procédures compliquées. Mais s’il mentionne simplement « mes enfants », alors ces derniers vont devoir fournir un acte de notoriété.

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Les autres descendants peuvent aussi bénéficier de l’assurance-vie !

Il faut savoir que le délai de règlement de l’assurance-vie peut être très long dans certains cas. L’assuré doit donc faire en sorte que tout soit on ne peut plus clair dans le contrat. S’il compte avoir d’autres enfants, alors il doit mentionner « mes enfants nés ou à naître ».

Grâce à cette formulation, son argent va être distribué à tous ses descendants sans exception. Au cas où sa progéniture a aussi des enfants, alors l’assuré peut ajouter la formulation « ou représentés ». Dans ce cas, la part du capital revient à ses petits-enfants si un de ses enfants est déjà décédé.

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