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Lorsqu’ils font les courses au supermarché, les clients s’attendent à trouver des produits de qualité. L’enseigne Leclerc, par exemple, est très populaire. Elle n’a pas le droit à l’erreur avec les articles qu’elle dispose dans ses rayons.
Malheureusement, des erreurs peuvent survenir. En 2024, un incident soulève des questions sur la sécurité alimentaire et la responsabilité des distributeurs. Cet incident est celui de la découverte d’un objet insolite dans une tarte aux pommes. Si ce client est en bonne santé, il décide malgré tout de porter plainte contre le supermarché.
Leclerc : une découverte surprenante pour ce client
Lilian, un habitant de Léguillac-de-l’Auche en Dordogne, fait régulièrement ses courses chez Leclerc sans rencontrer de problèmes. Il apprécie l’enseigne pour la diversité des produits qu’elle propose et ses prix intéressants.
Cependant, un jour, en achetant une tarte aux pommes, il découvre un stylo plein d’encre qui se trouve entre la pâte et le moule en aluminium. Forcément, il n’en revient pas lorsqu’il fait cette découverte. Il se demande comment un tel objet a pu se retrouver dans une tarte aux pommes, cela n’a aucun sens.
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Rapidement, il agit. Après tout, il est possible que d’autres objets se trouvent dans les tartes aux pommes. Il faut prendre ses responsabilités. Alors, il contacte le magasin Leclerc avant de partager son expérience dans les médias.
La réaction de Leclerc
Suite à sa plainte, Lilian rencontre un responsable de l’hygiène et de la sécurité du Leclerc de Saint-Astier, qui lui promet de transmettre l’information à l’entreprise Pasquier, fournisseur des tartes. Cependant, Pasquier nie toute responsabilité, affirmant que leur contrôle qualité aurait dû détecter le stylo.
Le client se retrouve face à une fâcheuse situation. Leclerc et Pasquier refusent de reconnaître leur culpabilité dans cet incident. Mais Leclerc ne veut pas laisser Lilian avec cette mauvaise expérience. Alors, l’enseigne lui offre une carte de fidélité équivalente au prix de la tarte et une carte-cadeau de dix euros.
Un maigre lot de consolation pour ce consommateur qui veut comprendre comment ce stylo a pu se retrouver dans sa tarte. Mais Julien Bonnafoux, directeur de Leclerc, souligne que l’enseigne n’y est pour rien. En effet, il indique que si le stylo avait été introduit avant la cuisson, il aurait fondu.
Un client qui ne cache pas sa déception
Malgré les compensations, Lilian reste insatisfait et perplexe quant à l’origine du stylo. Cette expérience ternit logiquement son opinion sur les produits de Leclerc. Néanmoins, il reconnaît que trouver un stylo est moins grave que de consommer des produits dans lesquels se trouvent des bactéries dangereuses, par exemple.
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Mais les dangers pour la santé sont malgré tout réels. Heureusement, Lilian va bien puisqu’il a découvert le stylo avant de consommer la tarte. Mais d’autres clients auraient pu ne pas avoir cette chance.
Cette affaire met en lumière l’importance pour les distributeurs de garantir la qualité et la sécurité des produits qu’ils vendent. Les consommateurs doivent pouvoir faire confiance aux contrôles effectués par les fournisseurs et les supermarchés pour éviter des incidents similaires.
